• Ameublement Eglise St Martin

    Les trois grilles en fer forgé destinées à maintenir les draperies voulues par le P. Dugimont sont toujours en place dans l'église.

    Par contre, les bancs réalisés par un ébéniste colombellois, Endoseai Marlon, auraient été cédés à la commune proche de Petiville où ils auraient retrouvé leur destination1 en l'église Notre-Dame.

    La chapelle a gardé son maître-autel avec retable tripartite du XVIIe siècle porté par deux colonnes d'ordre corinthien. La grande toile centrale du retable, volée en 1986, était signée de Jean-François Restout et représentait le rêve de saint Martin. Deux petits tableaux figuraient au-dessous, dérobés au début du XXe siècle : l'un dû au moine Andrea de Bally, représentait le Christ apparaissant à saint Martin adolescent ; l'autre, l'annonciation.

     

    L'église a gardé ses fonts baptismaux dont la cuve à aspersion circulaire se trouve en partie encastrée dans le mur de la nef, près de l'entrée.

    Demeurent de même le confessionnal et la tribune financée en 1854 par la famille de Laistre.